Additifs et cerveau
- Géraldine Léonard
- 19 mai 2019
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 15 juin 2019

Afin d’éviter des dommages cérébraux, les consommateurs atteints de phénylcétonurie doivent bannir l’aspartame de leur alimentation car cet édulcorant intense est riche en phénylalanine8.
De plus, ce dernier et le jaune de quinoléine attaquent le cerveau et peuvent freiner le développement des cellules nerveuses. Lorsque ces deux substances sont ingérées en même temps, cet effet est multiplié par sept126.
Le glutamate[1] présent dans une multitude de plats asiatiques, chips, soupes et autres plats industriels, quant à lui, serait associé aux céphalées et à l’aggravation de la maladie de Parkinson (tout comme le benzoate de sodium) et d’Alzheimer. De plus, ce rehausseur de saveur (le plus prisé des industriels) est une excitotoxine : il excite les papilles gustatives et les neurones, perturbe les sensations de faim et d’appétit, ce qui crée une dépendance et perte de contrôle de l’appétit71. Autre chose : il déclencherait « une trop grande sécrétion d’insuline impliquée dans le diabète de type 2 » (Chavanne, 2018, p. 125)126.
[1] « Ou glutamate monosodique ou glutamate de sodium (E621) » (Vasseur & Thévenot, 2016, p. 80)72, sept autres dénominations existent.
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